Randonner au cœur d’Angkor Thom, de Ta Prohm au Bayon en passant par les portes des temples qui sourient

Entre les temples de Ta Prohm et du Bayon dédiés au bouddhisme mahayana, cette randonnée facile au sein de la cité royale (Angkor Thom) de Jayavarman VII permet de découvrir de magnifiques gopuras (portes) et trois sanctuaires hindous : Ta Keo, Thommanon et le Chau Say Tevoda, une préfiguration à échelle réduite d’Angkor Vat.
Banteay Srei : le temple des 12 merveilles visibles à Angkor, Phnom Penh et… Paris au musée Guimet

Dédié à Shiva, le temple de Banteay Srei est un livre ouvert sur les grands mythes de l’hindouisme. Brodés dans la pierre, les événements majeurs du Mahabharata et du Ramayana se découvrent sur ses frontons, sur les façades de ses magnifiques bibliothèques, etc. Une visite incontournable pour les amoureux des temples d’Angkor.
Angkor, lieu de vie et de recueillement

Repères et espaces de dévotion, les temples d’Angkor (Angkor Vat, Bayon, Ta Prohm…) demeurent des lieux sacrés pour les religions bouddhiste et hindouiste. Un syncrétisme inscrit dans la pierre qui date de l’empire d’Angkor (802–1177). Visite des douze merveilles d’Angkor, la plus grande cité médiévale encore visible aujourd’hui dans laquelle résident environ 100 000 Cambodgiens.
Complexe archéologique de Roluos : une belle randonnée parmi les premiers temples de l’empire d’Angkor

La visite des principaux temples de l’ancienne capitale d’Angkor (Hariharalaya) permet de découvrir des habitations et la vie autour de ces sanctuaires pré-angkoriens. Une réminiscence de celle qui s’est développée sous le règne des rois-bâtisseurs khmers conjointement à la construction de ces demeures pour les dieux.
Le temple d’Angkor Vat intime

Plus vaste monument religieux au monde, Angkor Vat est le mieux conservé et le plus fréquenté des temples d’Angkor. Pour l’explorer seul, à son rythme, sans les groupes de touristes, suivez ces conseils, pas les guides !
Palace, repaire de journalistes, camp de réfugiés, entrepôt sous les Khmers rouges : les 7 vies de l’Hôtel Le Royal de Phnom Penh

Avec l’avancée des Khmers rouges, l’Hôtel Le Royal de Phnom Penh, rebaptisé Le Phnom, se transforme en camp retranché pour les journalistes qui vivaient sur place et en centre d’accueil pour réfugiés de la Croix-Rouge. Après une longue rénovation, le Raffles Hotel Le Royal renoue avec son faste d’antan.
Dans les rues de Phnom Penh : « la petite reine », c’est la moto

Utilisée pour transporter toute la famille, les denrées alimentaires les plus diverses (y compris des œufs) ou les touristes adeptes des tuk-tuks khmers, la moto est omniprésente à Phnom Penh, capitale en pleine croissance du Cambodge. De plus en plus urbanisés et motorisés, les 16,5 millions de Cambodgiens en sont friands : près d’un sur trois en possède une.